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Citation de maud31


Partout où j'étais, vous étiez en moi.

Quand on parlait des hommes et du mal qu'ils font aux femmes je souriais encore, car le pensais que vous n'étiez pas de ces hommes.

Ne peut-on panser qu'avec les idées du mari ? Je m'ennuie tellement avec ces femmes qui parlent de leur mari.

Pour que je ne souffre plus, il faut que vous partiez afin qu'un jour votre nom prononcé devant moi passe comme un souffle sans plus rien effleurer.

Hier, je l'attendais, aujourd'hui je n'ai plus l'attendre.

Si je ne vous aimais pas, je pourrais vous revoir.

Ce qui me fait souffrir, ce n'est pas tant la mort d'un amour que celle d'un être vraiment vivant que nous avions créé l'un et l'autre, que peut-être moi j'avais créé seule...

J'ai dit chaque jour gamin ce sera comme autrefois ce "demain " n'est pas venu.

Laissez-moi, vous ne pouvez plus être avec moi. ne croyez pas que m'offrir l'amitié pour remplacer l'amour puisse être un baume : c'en sera peut-être un quand je n'aurai plus mal. Mais j'ai mal : et quand j'ai mal, je m'éloigne sans retourner la tête.

Danser, c'est le rythme de vie le plus heureux.

Il ne faut pas être absent de son bonheur.
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