Drazen
Pour la première fois, je rencontrais des gens qui revenaient d'une autre guerre que celle de la libération des nazis. ils parlaient d'une ville entièrement détruite, d'une fureur aveugle qui n'avait rien à voir avec la survie de la Yougoslavie, d'une haine inconnue dont j'avais bien du mal à m'expliquer l'origine. p. 69