Arthur doit à sa mère la conviction que tout est possible à force de volonté, que les causes perdues méritent un chevalier pour les défendre. Dans sa famille, c’est sa mère qui joue le rôle du chevalier : il n’ignore pas que seules son ingéniosité et sa ténacité leur ont épargné la vraie misère qui fait rage dans les taudis de l’Écosse industrielle.