C'est alors que réapparurent l’égyptien Alki et son maître.
Ils s'avancèrent sans se presser et déclarèrent qu'ils me prenaient. Halios ne fit aucune difficulté. L'affaire fut conclue en moins de temps qu'il m'en fallait pour réaliser qu'enfin, enfin, je partais. Les esclaves qui restaient me lorgnèrent avec envie. L'un d'eux lança un "au revoir, petit prince...." que j'accueillis sans rebuffade.
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