Citation de marieclairetouya
Je gravis la première marche, tenant toujours mon gourdin improvisé, la deuxième, m'agrippant à la rampe pour monter plus vite. Soudain une force énorme me tira en arrière, le Gros était cramponné à mon tee-shirt et ne voulait pas le lâcher, il m'empêchait de monter, de sortir. " Noooon, " hurlai-je de toutes mes forces... abandonnant mon gourdin j'attrapai la rampe des deux mains,... j'entendis mon teeshirt se déchirer mais je m'en fichais, je n'étais qu'un paquet de muscles tendus dans l'effort, deux marches, il restait deux marches.. Mes mains gagnèrent cinq centimètres sur la rampe, je décollai un pied pour le monter quand je me sentis partir en arrière de tout mon poids. "L'Armoire a gagné" fut ma dernière pensée avant de m'échouer sur le sol très durement et de perdre connaissance.