Nous dire de changer notre comportement, c'est envisager ces harceleurs comme des invariants, comme une fatalité. C'est se résigner.
Le délit de cyberharcèlement a été introduit dans la loi en 2014, puis renforcé par celle du 3 aout 2018. Les contrevenants s'exposent à une peine d'emprisonnement de deux ans et à, 30.000 euros d'amende.