Je sais que tu n'es pas responsable de la mort de maman. Mais t'aimer, toi, c'est l'effacer, elle. Elle s'est effacer d'elle-même. Vais-je gommer ce qui reste? Chaque matin, je retaille mon crayon et, armée de patience, je repasse les traits du dessin qui chaque nuits s'efface.