La persécution par le "monstre Rodin" protége exactement Camille d'avoir à accuser sa mère, là où elle ne peut la haïr. Camille dégage sa mère de ce complot féroce qui s'abat sur elle, en la croyant manipulée. L'élément majeur est l'impossibilité que connut Camille d'affronter sa mère en face, elle n'a pas pu contrer le cruel acharnement maternel à l'eloigner. Hors de sa présence physique, elle ne pouvait l'atteindre. Le ravage mere-fille s'est trouvé déjoué.