Je voudrais lui expliquer que les simulacres des défunts ne sont pas comme les vivants. Ils se comportent de manière plus instinctive et irrationnelle, ils se poussent et se heurtent comme les vagues provoquées par des cailloux jetés dans un étang. Ils ne ressentent pas d’empathie les uns pour les autres, quelque chose d’irréparable les sépare de ceux qui respirent.