sous l'influence de Théo Van Rysselberghe, de 1890 à 1895, il adopte la théorie du divisionnisme des couleurs prônée par les néo-impressionnistes français. dès 1890, il expose au salon des indépendants à Paris et se lie avec Seurat et Signac. Mais ses recherches le conduisent rapidement à s'écarter de la doctrine néo-impressionniste, vis à vis de laquelle il devient par la suite critique. il s'intéresse alors particulièrement aux arts décoratifs et sein de la libre esthétique où il prend une part active.