Mon propos n’est pas de dire du mal de Picasso. Mon propos est de tenter d’expliquer le long chemin de croix qu’il m’a fallu gravir pour tenter de réhabiliter l’image d’un homme incapable d’aimer. Mon propos est de rendre palpable la souffrance des victimes d’un virus comparable au virus I love you qui a contaminé le réseau Internet à la veille de l’an 2000.