Le fennec intérieur se recroqueville, il se transforme en un crustacé qui referme ses pinces devant lui, s’accroche à son rocher pour mieux lui ressembler, se camoufler, n’est plus qu’un élément marin parmi les autres, indifférent et semblable, il apparaît dissimulé aux regards, se laisse légèrement ballotter par l’écume des vagues, dans une apparente tranquillité qui le protège des éventuels prédateurs.