Faire de faux billets était un crime bien plus grave aux yeux de la loi que le viol, le meurtre, le braquage de banque ou les incendies criminels. Lorsqu'on contrefaisait un billet, on s'attaquait directement à l'état, tandis que pour les autres crimes, on était qu'une sorte de charognard prélevant sa part sur la grande carcasse de la société humaine.