Est-ce l'écriture qui rend intranquille ou l'intranquillité qui rend écrivain ?
Folie que de tenter de s'extraire du bourbier de l'existence à la seule force des mots.
Folie pour celui qui écrit, communion de celui qui lit.
Jubilation, jusque dans l'angoisse, de rencontrer celui qui partage, dans sa fiction, cette malédiction bénie, cette bénédiction maudite de l'intranquillité.