« Singulier logement que celui que j’allais occuper. Il était situé à l’entresol et si bas de plafond qu’on pouvait à peine y marcher droit. Dans ce local, sorte de fouillis, il y avait des auges, des règles de maçon, des planches, de la ferraille de toute sorte ; ajoutons qu’il était à peine aéré et que la moitié des carreaux manquaient sous nos pieds.
Aujourd’hui que nous avons des lois sur les logements insalubres, la police ne manquerait pas d’interdire ces sortes de taudis. Mais à cette époque notre chambre ne différait guère de celles réservées partout ailleurs aux ouvriers. »