J’ai commencé à t’écrire parce qu’il était difficile de parler avec toi ; tu étais enthousiaste mais écoutais si peu, au bout du compte, au travers de nos nuits confiture. J’étais convaincue que si je savais attendre, trouver les mots justes pour expliquer d’où je viens, nous finirions par nous comprendre.
(Cheval d’aout, p.115)