Il vida les dernières gouttes de son grog et se sentit tout ragaillardi. En partie par l’alcool, mais surtout par l’espoir qui lui réchauffait le cœur : il allait enfin faire quelque chose de sa vie. Son anxiété s’était changée d’un coup en euphorie. Il allait appliquer à la lettre la recette de son frère : d’abord les claques, ensuite les palabres !