« Depuis le début de la guerre, bien que de milieux différents, ils étaient devenus proches. Blanchard, paysan de la Beauce, costaud, trapu, la moustache brune ne bataille, ne se faisait aucune illusion sur l’humanité. Il essayait souvent de convaincre Drouault, l’instituteur parisien raffiné, épris de poésie et de littérature, empreint d’idéalisme avec un sens exacerbé du devoir, de l’imbécillité de la vie et de la terre toute entière. (p.19)