Citation de Rhia
— Oh ! pas encore cette histoire de suggestibilité…
Je parvins, mais à grand-peine, à me retenir de lever les yeux au ciel. La théorie était déjà venue sur le tapis par le passé, et je l’avais balayée du revers de la main à l’époque. Elle était soit trop bête, soit trop sophistiquée pour que je la comprenne.
L’idée était la suivante : les vampires ne supportaient pas les croix, bibles et autres objets sacrés car, de leur vivant, ils avaient cru les livres, bandes dessinées et films. Salem , le roman de Stephen King, était si ancré dans l’imaginaire populaire que même ceux qui ne l’avaient pas lu (ou lu Dracula , ou regardé Buffy et Angel à la télé, ou lu la série de romans graphique 30 Jours de nuit , ou été au cinéma voir L’Ombre du vampire ou Génération perdue ; et bouclez-la, c’était un très bon film !) savaient comment tuer les vampires.
En conséquence, ceux-ci craignaient les croix. Donc, même s’ils avaient été athées ou juifs, une fois vampires, elles les brûlaient. Ce qui, encore une fois, n’avait aucun sens.
Je parvins, mais à grand-peine, à me retenir de lever les yeux au ciel. La théorie était déjà venue sur le tapis par le passé, et je l’avais balayée du revers de la main à l’époque. Elle était soit trop bête, soit trop sophistiquée pour que je la comprenne.
L’idée était la suivante : les vampires ne supportaient pas les croix, bibles et autres objets sacrés car, de leur vivant, ils avaient cru les livres, bandes dessinées et films. Salem , le roman de Stephen King, était si ancré dans l’imaginaire populaire que même ceux qui ne l’avaient pas lu (ou lu Dracula , ou regardé Buffy et Angel à la télé, ou lu la série de romans graphique 30 Jours de nuit , ou été au cinéma voir L’Ombre du vampire ou Génération perdue ; et bouclez-la, c’était un très bon film !) savaient comment tuer les vampires.
En conséquence, ceux-ci craignaient les croix. Donc, même s’ils avaient été athées ou juifs, une fois vampires, elles les brûlaient. Ce qui, encore une fois, n’avait aucun sens.