Caroline lui manquait tant qu'il en ressentait une douleur presque physique. Autrefois, il avait su la traiter, l'anesthésier. Aujourd'hui, il n'avait pas d'autre choix que de la subir. Il ne cherchait plus à s'en débarrasser. Il se levait, descendait jusqu'au ponton et patientait le temps que le mal s'estompe. Car en général, avec les premières lueurs de l'aube venait une minuscule lueur d'espoir.