Les liens qui unissent l’âme et le corps de Kazuma sont moins denses que chez le commun des mortels. Il peut s’envoler librement où et quand il veut. Dans ces moments-là, j’ai beau sentir sa présence près de moi, il a l’air si loin. Ça se produit de plus en plus souvent depuis peu. C’est pourquoi, malgré moi, j’en suis venue à détester la musique qui m’enlevait Kazuma.