[…] Ils sont morts depuis dix-huit siècles, mais ce sont des créatures humaines que l’on voit dans leur agonie. Ce n’est pas de l’art, ce n’est pas une imitation ; mais ce sont les ossements, les reliques de leurs chairs et de leurs vêtements mêlés au plâtre ; c’est la douleur de la mort qui reprend corps et figure. Moi, je la vois, cette pauvre petite, j’entends le cri avec lequel elle appelle sa mère, et je la vois tomber et se débattre. […]
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