C’est alors que je pêche une idée : à défaut de pouvoir marcher, je peux naviguer.
Je me glisse dans une barque et me laisse porter jusqu’au pont. Au-delà, je ne connais pas.
C’est l’aventure.
Étrangement, l’aventure ne sent pas les épices et le chocolat chaud comme je l’imaginais. Non. Elle sent plutôt l’herbe fraîche, le chèvrefeuille, la soupe du soir.