3. « Le développement de l'entreprise pornographique accompagne celui du capitalisme dans lequel les entrepreneurs proposent des produits de plus en plus divers, répondant ainsi à la critique de la standardisation des biens et à la dénonciation de la massification. Ce fonctionnement en niche du marché pornographique se superpose au fonctionnement fétichiste de la production des fantasmes.
Cette construction du marché repose sur une érotisation des rapports sociaux. » (pp. 80-81)