(.....) pour la première fois depuis que l'été a commencé, il a l'impression de comprendre le murmure de l'océan. Il parle de ténèbres. De solitude. De mystère.
(....)Et une fois qu'on a enlevé le costume, il ne reste que la vérité toute nue. Cet immense océan et ce ciel sombre et oppressant. Nous n'avons que quelques minutes, mais le monde, mystérieux, est éternel et ne cesse jamais d'avancer.