Cet état de manque de sommeil chronique entraîné par les heures matinales de début d'école s'avère particulièrement inquiétant quand on sait que l'adolescence est la période où l'on est les plus susceptible de développer des maladies mentales chroniques, telles que la dépression, l'anxiété, la schizophrénie ou les idées suicidaires. Perturber inutilement le sommeil d'un adolescent peut faire toute la différence, le faire vaciller du point critique entre bien-être psychologique et maladie psychiatrique à vie. C'est une affirmation lourde de conséquences, mais je la livre sans désinvolture, et avec des preuves.