Il y a un an et demi qu'il est malade. Il est peut-être déjà trop tard pour retrouver le Suzor que je cherche, mais je n'arrêterai pas mon chemin. Je n'arrêterai plus. Cette lettre, ces mots, le j minuscule et sans point qu'il trace quand il écrit mon prénom, tout ça explose en moi. Je ne veux pas être la seule condamnée au souvenir de nos bonheurs.