Nous aimerions mieux que tout fût stupide, instinctif, automatique, irresponsable. Un jour nous apprendrons, comme tout ce qui vit avec nous sur ce globe l'a déjà fait, à nous contenter de la vie. Ce sera le dernier idéal, élargi par tous ceux qu'il aura résorbés ; et nous éprouverons peut-être, quand nous saurons nous y prendre, qu'il est suffisant et, en tout cas, aussi grand et moins décevant que la plupart des autres.