Impossible de penser au cimetière, aux Furies ou à la Nuit du Cercueil quand il m’embrassait comme ça. Impossible d’envisager qu’il puisse arriver quoi que ce soit. Jamais. J’avais la tête vide. Ou pleine. Pleine de lui. Il a laissé sa bouche s’attarder là, sur la mienne. Pas de façon possessive, non, ni même tendre… juste comme si c’était sa place normale, comme si nos lèvres étaient faites pour s’épouser.