[…] il est mort si petit, si vite, qu’il m’arrive d’oublier. Evidemment, je n’oublierai jamais complètement, mais les journées sont bien chargées, et je vous ai toutes les deux alors il m’arrive de ne pas penser à lui pendant quelques heures. Peter, c’est comme ça qu’on l’avait baptisé […]
Je ne reverrai jamais sa tombe et j’en ai pleuré, c’est vrai, quand on est partis.