Pour finir, je crois que tous ceux qui sont passés par cette période de ma vie, des plus dignes d’amour aux plus antipathiques, tous ou presque sont devenus de bons revenants. Les nuits où je n’ai rien à faire ni personne à qui parler, ils viennent s’asseoir près de moi comme des anges et partagent ma veille. Et j’ai un moyen magique pour les appeler. Je prends la plume ou je frappe simplement les touches de ma machine. Alors, dociles, tous apparaissent.