- Voilà donc, (…), tout un passé d’ignorance, d’incompétence, d’interventions désastreuses, suivies de tentatives visant à supprimer les conséquences des erreurs commises, elles-mêmes suivies de tentatives de réparation des dégâts causés par les précédentes interventions, aussi dramatiques qu’une fuite de pétrole ou des déchets toxiques. (…) Ce désastre avait été provoqué par des écologistes chargés de la préservation d’une réserve naturelle, qui avait commis erreur sur erreur et fait la preuve de leur méconnaissance du milieu naturel qu’ils étaient censés protéger.