Dans les Indes plurielles, les mythologies ne se laissent pas comparer à celles des Grecs ou des Égyptiens dont les religions sont mortes depuis longtemps. Les mythes ne résonnent pas dans la conscience des Indiens comme la guerre de Troie ou la fondation de Rome par Énée dans la nôtre, simples sujets culturels des opéras, des pièces de théâtre, des peintures et des sculptures de l’Europe moderne. Éventuellement, on peut les rapprocher des histoires de la Bible qui formaient la materia christiana.