Il ne viendrait à l'esprit d'aucun de demander à un philatéliste à la suite de quelle névrose obsessionnelle il en est venu à collectionner les timbres.
Par contre, l'intérêt que je porte aux rats me vaut de la part de certains apprentis sorciers, d'intoxiqués de la psychanalyse, de salonnards creux comme des cannes à pêches, de complexés, de torturés, de maniérés, de frustrés, d'hystériques, de niais et de bécassines, des invectives lourdes en agressivités et en sous-entendus quant à ma santé mentale, et des propos vexatoires lancés comme des affirmations, pour ne pas dire comme des vérités irréfutables.
Je crois, malgré tout, que l'homme est plus proche du rat que du timbre poste...