Se lever à quatre heures et demie tous les matins que le bon Dieu amène pour aller bûcher à des températures de – 25 toute la journée avec un boss sur le dos tout le temps, c’est pas le paradis. En plus, dormir tassés dans le camp et manger presque toujours la même chose, c’est pas la joie non plus. Mais il y a la paye, et ça, ça fait oublier tout le reste.