Marie Beauchemin avait subitement réalisé au départ des nouveaux époux que son fils avait uni pour de bon sa destinée à celle de Catherine Benoît, et elle était loin d’être rassurée sur l’avenir du couple. Qui sait quelle sorte d’épouse et de mère une fille comme ça allait faire ? Si son mari avait encore été vivant, il n’aurait jamais accepté une telle union, elle en était persuadée. En participant à ce mariage, elle avait un peu l’impression de l’avoir trahi.