En outre, derrière les divisions de cette façade se cachait l'autre partie de la Salpêtrière, l'asile des «folles». Un peu plus d'un millier de femmes y étaient réparties dans des bâtiments, «loges» et «chalets», entourés de cloisons grillagées et disposées de façon un peu anarchique entre des allées bordées de grands arbres. Ce sont elles, ces «folles», que les Parisiens aimaient venir voir dans leurs promenades dominicales : univers curieux, certes, mais rassemblant toutes les misères du monde.