(...) nous ne pouvons accepter toutes ces impostures démocratiques, sous prétexte qu'en y renonçant nous risquons de tomber dans une trappe totalitaire. Doit-on vivre à petit feu, au plus bas de ses possibilités pour s'éviter tel ou tel danger, alors que le danger extrême est de voir se dissoudre dans la confusion généralisée toute parcelle d'humanité ? Doit-on, par crainte d'être accusé d'une quelconque "volonté de puissance", refuser a priori toutes les valeurs positives de la vie ? Doit-on réprimer l'excellence, la supériorité, sous prétexte qu'elle donne mauvaise mine à l'universelle médiocrité ?