L’homme de Magdalène s’y était traîné sur les coudes, il a supplié les lieux, il les a investis de sa demande… : « Je suis mortel, entendez-le et tout l’est peut-être, conservez après moi ce mystère. » […] du reste la grotte était vivante, animale, toutes ses cloisons respirent l’eau, elle est d’une nuit constante… (p. 30)