Il faut aussi pratiquer cette langue qui a tant fasciné les administrateurs et voyageurs au bagne ainsi que journalistes et écrivains (Hugo, Balzac, Eugène Sue…) : l’argot. Vidocq en fit un dictionnaire, Clément un répertoire et Hugo une définition : « Epouvantable langue crapaude qui va, vient, sautèle, rampe et se meut monstrueusement dans cette immense brume grise faite de pluie, de nuit, de faim, de vice, de mensonge, d’injustice, de nudité, d’asphyxie et d’hiver, plein midi des misérables. »