Jadis les Hongres, combattants très belliqueux, ne poursuivaient pas leur assaut après avoir rendu l'ennemi à leur merci. Leur ayant arraché l'aveu de la défaite, ils les laissaient aller sans offense, sans rançon sauf, au plus, celle d'en tirer parole de ne plus s'armer dorénavant contre eux. (p. 33-34)