« Pour que musique soit pleinement
vécue faut-il la laisser voler
libre comme le divin rossignol
du conte d’Andersen ? sans chercher
à la capter par des mots ? Ou peut-elle être retenue
fragile jubilante dans quelques vers d’un poème ?
Mon destin de vivante n’est-ce pas toi
poème-précipité-de-musique ? » (p.190).