Et juste alors, avec sa proximité, avec son baiser, il parvint à combler chacun de ses sens. Il était la fumée du feu de camp, il était les feuilles et la mousse, et la nuit même. Le baiser du rebelle n'avait rien de délicat, rien de doux ni de gentil. Elle n'avait jamais rien connu de tel auparavant, et il était dangereux - tout aussi mortel que le baiser d'une flèche. (p 219 )