De sa baraque verte, Pelote ne garde que quelques souvenirs : les visages émaciés et pâles de ses parents, de son frère et de sa sœur aînés, les fumées noires et la puanteur provenant de la déchetterie... un téléphone rouge... quelques rats, des bouteilles de bière... et la fumée, toujours la fumée... ainsi qu'un seau contenant un mélange transparent et gluant qu'il aimait inhaler... et le plancher très dur contre le quel il se cogna la tête, un jour, en tombant.