Lorsque Jonathan n’était encore qu’un nourrisson de quelques semaines, il t’est arrivé d’avoir envie de le secouer. Jusqu’à ce que sa tête hydrocéphale craque sur son cou trop faible. Jusqu’à ce qu’enfin il se calme. Pour toujours. Qu’il te laisse souffrir en silence ton grand amour perdu. Jonathan n’arrêtait pas de pleurer, comme s’il partageait ta détresse, Marylou, comme s’il pleurait ce père qu’il ne connaîtrait jamais. Avec toi.