Citation de Cielvariable
- Chut! Ne t'en fais pas. C'est fini.
Il la berce toujours, la serrant plus fort contre son torse. Marie referme les yeux et sanglote silencieusement. Tant de souffrance en elle, autant dans son coeur que dans son corps meurtri. Son visage est si douloureux !
- Pourquoi? demande-t-elle avec peine.
Frederick ne sait que répondre. Ce qui, plus tôt, lui apparaissait comme une raison suffisante pour corriger sa femme lui semble maintenant bien dérisoire à côté de ce déferlement de violence. Il cherche en lui les véritables motivations de son geste et n'en trouve aucune qu'il soit capable d'avouer à sa femme. La jalousie lui paraît plus honteuse que le geste lui-même. Il se contente de baiser la meurtrissure qui défigure Marie.
- Pardonnez-moi, répète-t-il en vain, reprenant à son insu le vouvoiement habituel.
Il la berce toujours, la serrant plus fort contre son torse. Marie referme les yeux et sanglote silencieusement. Tant de souffrance en elle, autant dans son coeur que dans son corps meurtri. Son visage est si douloureux !
- Pourquoi? demande-t-elle avec peine.
Frederick ne sait que répondre. Ce qui, plus tôt, lui apparaissait comme une raison suffisante pour corriger sa femme lui semble maintenant bien dérisoire à côté de ce déferlement de violence. Il cherche en lui les véritables motivations de son geste et n'en trouve aucune qu'il soit capable d'avouer à sa femme. La jalousie lui paraît plus honteuse que le geste lui-même. Il se contente de baiser la meurtrissure qui défigure Marie.
- Pardonnez-moi, répète-t-il en vain, reprenant à son insu le vouvoiement habituel.
