- [...] Pensez à Arthur comme à un grand arbre, l'arbre de Bretagne. Je suis la fleur, la mousse, le bouton éphémère sur le rameau. Lancelot est la grosse branche qui me soutient. Pourtant il n'est rien sans l'arbre lui-même, et il en va de même pour moi. Sans Arthur, nous mourons. Et sans nous, il est affaibli.