Elle se sent anonyme et puissante : une femme intemporelle, qui prend part à un rituel allant bien au-delà de sa personne. La lune brille par la fenêtre et forme des ombres macabres sur le mur. Il y a un arbre qui pousse et s’étrécit, déformé par le vent, et les corps anormalement étirés, surmontés de petites têtes, des piétons qui arpentent le plafond en un défi surréaliste.