J'ai pu demander au général Westmoreland s'il n'était pas préocupé par le grand nombre de pertes civiles provoqués par les bombardements d'artillerie et aériens.
Il me répondit : " Bien sur, c'est un problème. Mais cela prive l'ennemi de l'aide de la population, n'est ce pas ?"
Ce même général déclarait un peu plus tard : " Nous allons continuer à les saigner jusqu'à ce que Hanoï admette le fait que nous avons rendu leur pays exsangue pour plusieurs générations ".