Le disque de jazz – comme le film – combine cette contradiction d’être à la fois œuvre d’art – pour la meilleure part – ou de culture ET marchandise dont la caractéristique essentielle est d’être reproductible à l’infini. Ainsi le moment enregistré, irréductible, s’expliquant par les conditions précises dans lesquelles la séance a eu lieu devient, par la grâce du disque, marchandise